lundi 23 janvier 2012

Le partage de connaissances.


L'histoire nous apprend que la connaissance et la culture ont toujours été le fait d'une minorité - du moins jusqu'à une période récente ; par l'exigence du contenu, sans doute, mais d'abord et surtout par les multiples difficultés d'accès, spatiales et temporelles, mais aussi sociales et politiques, idéologiques. Le contrôle de l'information et de la communication est un enjeu fondamental pour toute société. Les hommes ont compris cela depuis des millénaires : l'art de la guerre et de la paix repose sur un tel contrôle ; les pratiques commerciales et les échanges s'appuient sur lui ; l'éducation et tout processus d'acculturation le supposent ; la chose publique l'exige.



Une nécessité renouvelée par les progrès technologiques :

Les entreprises n'ont pas attendu la notion de «knowledge management» pour en prendre conscience. Néanmoins, l'objet et les enjeux qui sont aujourd'hui développés sous ce nom présentent un caractère profondément nouveau et sans précédent dans l'histoire de l'humanité. Les vingt ans qui viennent de s'écouler ont créé dans ce domaine plus d'évolutions et de mutations que les 2000 ans qui les ont précédés. La révolution industrielle avait forgé un modèle économique fondé sur la transformation des ressources matérielles naturelles pour satisfaire les besoins des individus et des sociétés. Mais nous sommes à présent confrontés de toutes parts à l'insuffisance de ce modèle.
Le savoir - inséparable de ses conditions d'accès et de maîtrise - devient lui-même une ressource à part entière, et exige désormais d'être traité comme tel. Il devient même la ressource par excellence du secteur entier de l’activité économique, étant à la fois objet et moteur du développement. L'intelligence économique repose sur ce constat. Mais le savoir est immatériel et ne saurait se traiter sur la même base que les biens et services traditionnels. Les technologies de l'information et de la communication le rendent à peu près instantanément et simultanément disponible en tous points du globe, transgressant tous les processus traditionnels d'acquisition et d'utilisation de la connaissance et des savoir faire. La synergie collective, mondiale, créée par cette profonde mutation, amène l'entreprise à penser et développer des représentations et des valeurs partagées qui lui permettent d'envisager l'avenir sur une base nouvelle et de renouveler ses processus de décision, à tous les niveaux de l'entreprise.

Optimiser chaque prise de décision :

La théorie de la décision s'appuie sur le postulat de rationalité. Ce dernier se fonde sur l'idée que chaque acteur agit, par les décisions qu'il prend, au mieux de ses intérêts, quelles que soient la nature et la forme que ces intérêts peuvent revêtir, des plus objectivement descriptifs aux plus normatifs. Il convient donc de s'intéresser aux composantes de ce qui les constitue. Nulle structuration du travail ou de l'organisation ne saurait aujourd'hui faire abstraction du rôle que joue, dans cette rationalité :
·       La gestion des connaissances et des savoirs : expertises (métier, compétence, client), état du marché et de la concurrence ;
·       La capitalisation des expériences ;
·       La mise en perspective des potentiels ;
·       L'interrogation de bases de connaissances partagées comme source «d'intelligence collective» ;
·       La culture de la mémoire et de l'histoire ;
·       Le rôle croissant des TIC ;
Un acteur décisionnel ne peut, en fait, construire une véritable stratégie qu'en fonction de la qualité du système d'informations et de connaissances - de tous ordres - dont il dispose. Seule la validité des représentations qu'il possède confère à une action individuelle ou collective une véritable utilité opérationnelle. Le nerf de la guerre est le renseignement ; sans lui, aucune décision, aucune théorie stratégique ou managériale, aucune conception de l'organisation ne peut prétendre à une efficacité réelle.
Or toutes ces notions se développent aujourd'hui sous le nom de «knowledge management».
La réflexion a démarré en tentant de comprendre le contexte et la finalité du Knowledge Management, dont voici une définition simple.

Définition simple :

Le « Knowledge Management » (KM) est une démarche de gestion ou de "management" des connaissances reposant sur un double mouvement :

Le premier consiste à structurer et organiser la collection et la capitalisation des informations clés de l’entreprise : cela consiste à recueillir, trier et classer l’ensemble des ressources documentaires, des expertises métiers, des facteurs de compétences, des projets de création ou d’innovation, etc.

Le second mouvement consiste à susciter, sur cette base mise à la disposition de tous, des échanges, des réactions, des commentaires, des notes qui permettent un enrichissement, une création de valeur, une réflexion prospective.
C’est en définitive la constitution d’une mémoire "vivante" qui permet de maintenir et de faire évoluer les connaissances et le savoir faire de l’entreprise, tout en alimentant de nouvelles perspectives stratégiques.

La constitution de cette mémoire repose sur trois activités distinctes :

1. La production de documents

L’objectif n’est pas ici d’aborder les problématiques techniques du Knowledge Management mais simplement de relever que cette démarche implique un comportement contributif de chaque acteur de l’entreprise. Néanmoins, ces contributions ne sauraient s’élaborer sans un certain nombre de règles, permettant de produire des documents utilisables par le système et ses contraintes techniques. D’un traitement de texte ou d’un tableur, par exemple, à un mini réseau ou à une infrastructure Intranet complète, il y a une distance notoire ! Il convient en effet d’identifier les rôles des acteurs et les flux d’informations souhaités ou autorisés. Cela s’opère sur la base de la description des process techniques et de la taxinomie complexe qui a été retenue pour structurer et gérer l’information.

2. La capitalisation

C’est en effet cette taxinomie qui va constituer le principe directeur de la capitalisation des savoirs. Gestion électronique documentaire (GED), Groupware, moteur d’aide à la prise de décision, etc. La problématique est strictement celle de la structuration de la mémoire. L’idéal serait d’approcher du fonctionnement de la mémoire organique, mais en décuplant, grâce à la technologie, ses capacités de stockage. Il faut concevoir la capitalisation, en fait, comme de l’organisation de la pensée, et non comme une simple base de donnée relationnelle.
C’est ici que la technique reprend ces droits, devenant cause formelle de la capitalisation.

3. La diffusion

La diffusion s’opère à chaque niveau en formulant des requêtes. Il s’agit d’obtenir la bonne information, au bon moment, en intégrant la problématique des attentes tacites, c'est-à-dire non nécessairement formulées
. Il faut donc, là encore, que la technique permette d’identifier et de mettre en œuvre les modes d’accès au savoir selon les deux méthodes, push et pull.
Ceci suppose donc d’avoir qualifié, en amont les types de connaissances stratégiques, domaine par domaine, fonction par fonction dans l’entreprise.

Le paradoxe, pour une entreprise dont le développement est intimement lié à la «pointe» de l'information, apparaît clairement : en matière de savoir, la méconnaissance des possibles exige une ouverture et une captation maximale. Mais la prolifération des sources d'accès et la difficulté à structurer des vecteurs de recherche efficaces crée ordinairement une pure inflation d'informations que l'on ne peut ni ne sait exploiter.


L'enjeu du Knowledge Management :

L'enjeu moderne est la modélisation d'une recherche rapide, opérationnelle, intégrant des principes d'exploitation paramétrables des informations. Celui qui possèderait un tel outil serait plus maître du jeu que les autres. Ce sont ces modèles, ces outils, on pourrait dire ces armes ultra-modernes, qui vont devenir l'objet du Renseignement et de l'espionnage. La rareté s'est déplacée de l'information à l'exploitation de cette information ; de la «variable» à «l'équation».
Il en va de même pour le management de la connaissance dans l'entreprise. Mettre en place un système de recueil de l'information peut être relativement facile (encore que peu d'entreprises le pratiquent efficacement). Mais la capitalisation n'est pas une simple accumulation quantitative ; il s'agit de restituer à la bonne personne l'information dont elle a besoin, au moment où elle en a besoin, et même de lui permettre d'élargir l'estimation initiale de ces besoins… Il y a là une véritable fécondité possible : permettre de créer un certain dynamisme de recherche et de création de valeur, sans que la personne n'ait eu elle-même, de manière exclusive – ce qui serait très «chronophage», – à maintenir une veille tout azimut et à aller elle-même à la pêche aux informations utiles.

L'accès au savoir :

Il est opportun de discerner avec soin les deux modes classiques d'accès au savoir :
·       Le mode «pull», dans lequel la recherche d'information est active, l'intéressé formulant lui-même sa requête à partir de son besoin explicite. Deux problèmes se posent dans ce cas : premièrement, l'identification du lieu (personne, site, expert) et de la manière (formulation de la requête, critères de recherche) d'obtenir la réponse ciblée ; deuxièmement la limitation du champ de conscience de l'intéressé, qui ne s'appuie alors que sur son système de représentations existant pour diagnostiquer le problème et estimer son besoin.
·       Le mode «push», dans lequel la recherche d'information est passive, l'intéressé recevant de l'information sans en avoir formulé la demande. Ce peut être le cas, par exemple, d'un suivi simple d'information (les médias), d'une veille structurée sur un secteur plus restreint ou encore d'une organisation du système d'informations prospectives, par Intranet par exemple, au sein d'une entreprise. Dans ce cas, les problèmes posés sont différents : premièrement, celui du repérage et de la pertinence des informations pour un acteur donné ; deuxièmement le temps nécessaire pour réviser et réadapter son système de représentations en fonction d'une intégration constante d'information ; enfin la capitalisation et l'exploitation transmissible et reproductible de ces informations - sans laquelle il n'est pas, rappelons-le de professionnalisme avéré.

·       Conclusion :

Lorsque l'on regarde les pratiques des entreprises en matière de Knowledge Management, on constate qu'il y a un écart sérieux entre les concepts développés dans la littérature ou la presse spécialisée… et la réalité ! Dans les faits, le Knowledge Management se présente encore comme une panoplie de méthodes et de modèles théoriques qui cherchent une cohérence pratique d'ensemble. Néanmoins, son caractère stratégique et ses potentialités de moteur de développement ne sont plus remis en cause : on peut affirmer qu'il ne s'agit plus d'un effet de mode.
Mais pour la grande majorité des entreprises, l'éclectisme des domaines à traiter et des sources qui leurs correspondent constituent la difficulté principale du KM. Et nombreux sont ceux qui croient encore que l'utilisation des technologies de l'information ou la simple mise en ligne d'un document est déjà du Knowledge Management.
Il y a donc une véritable révolution culturelle à intégrer : que ce soit dans le développement de la culture de partage, situant le pouvoir dans la créativité et l'innovation, et non plus dans la possession statique d'un savoir. Que ce soit par rapport à l'outil technique, comme une véritable composante d'un comportement professionnel, et non comme un simple gadget technologique.
Il y a enfin une véritable professionnalisation à développer pour faire du Knowledge Management une composante normale des compétences d'un professionnel, de son recrutement à la gestion de sa carrière. Sans aucun doute faut-il intégrer ces problématiques dans les formations même des ingénieurs et des techniciens, comme dans celle, plus prosaïque, des managers. Le but en est que chaque niveau décisionnel de l'entreprise, du plus haut au plus bas, utilise le Knowledge Management pour intégrer en temps réel la stratégie de l'entreprise et y collabore constamment par ses apports novateurs et ses propositions créatrices.

mardi 17 janvier 2012

65 bonnes résolutions pour entamer 2012...


Voici une liste de bonnes résolutions pour 2012, avec un top 65 des bonnes résolutions pour être au Top pour 2012 !
A vous de piocher dans ces bonnes résolution :
1 – Anticiper pour ne plus être systématiquement en “réaction” et sous pression.
Pour cela il est indispensable de se poser, de prendre le temps de prendre son temps afin de relever la tête du guidon et regarder ce qui arrive en face.
Cela veut dire aussi prendre le temps de revoir sa manière de travailler, ses procédures, sa gestion des urgences… Les quelques heures que vous vous accorderez chaque mois vous permettront d’y voir plus clair et d’enfin prendre du recul.
2 – Analyser les processus & tâches qui prennent le plus de temps pour les automatiser ou les simplifier.
Souvent avec une macro Excel, un logiciel dédié, un changement d’habitudes… il est possible de changer notre manière de travailler pour gagner du temps.
Faites votre mini audit, et regardez toutes les tâches longues et coûteuses en temps et trouvez une solution pour les simplifier / automatiser.
3 – Penser “durable” et écologique.
Et si cette année au lieu de prendre des gobelets en plastique à la fontaine à eau vous offriez à vos collaborateurs un verre ou un tasse à leurs noms ?
De même pour vos pots de départs, apéritifs… et si vous pensiez à utiliser plus de verre, des produits de saison… au lieu de prendre le tout venant par forcément très écolo ?
4 – Faire du sport sans effort et sans en avoir l’air…
Prenez les escaliers au lieu de prendre l’ascenseur, descendez un arrêt de métro plus tôt, prenez votre vélo une fois par semaine pour aller à la boulangerie… Dans votre quotidien il existe des dizaines d’occasions de faire un peu d’efforts pour conserver la forme !




5 – Etre moins fatigué…
Il n’y a pas de mystère, c’est soit se coucher plus tôt (quitte à se lever plus tôt), soit faire des siestes (au travail ou en rentrant du travail), soit éviter les soirées qui finissent à pas d’heures (et qui finalement ne vous apportent rien), soit réduire votre consommation d’alcool / graisses /… avant de vous coucher, soit avec une activité pour vous défouler physiquement dans la semaine…
6 – Valoriser mes collaborateurs pour les fidéliser et les motiver.
Cela passe par des remerciements et des félicitations sans qu’ils aient forcément fait des actions exceptionnelles. Un “merci…”, “tu as fait un beau boulot…” ne vous coûteront pas cher, mais auront un impact fort sur vos collègues.
7 – Prendre le temps de connaître mes collègues / collaborateurs.
Vous passez 8h / jour au travail avec les mêmes personnes… mais est-ce qu’il y a un vrai esprit d’équipe ? Est-ce que vous les connaissez vraiment ? Est-ce qu’il y a des choses qu’ils n’osent pas vous dire car vous n’avez pas le temps ou que ce n’est pas le moment ?
Pour répondre à ces questions le mieux est de prévoir une réunion individuelle chaque semaine, mais en plus organiser un déjeuner “open discussion” une fois par mois où vous pourrez discuter à la fois de sujets pros et persos.
C’est aussi régulièrement prendre un café avec vos équipes pour discuter de tout et de rien.
8 – Faire sentir vos collègues & collaborateurs “Comme à la maison” au bureau.
Cela veut dire certes montrer l’exemple en mettant de la décoration dans votre bureau (posters, cartes postales…).
C’est aussi organiser des petits évènements sans rapport avec le travail comme un Repas de Noël, une repas crêpes pour la Chandler, fêter les anniversaires…
9 – Créer un esprit d’équipe.
Un esprit d’équipe commence par travailler ensemble sur un sujet, demander de l’aide aux personnes les plus compétentes.
Mais c’est aussi via de petites attentions comme l’envoi de cartes postales à l’équipe lorsque vous êtes en congés, ramener des souvenirs (bonbons, gâteaux…) lors de vos déplacements…
10 – Avoir plus le moral.
Avec la morosité ambiante, sourire n’est pas forcément le plus facile… Néanmoins il existe quelques petits trucs pour garder le moral : ne pas mettre les informations 1 jour par semaine, décréter que ce soir vous ne voulez pas entendre de mauvaise nouvelles, regarder une fois par semaine un film comique ou aller à une pièce de théâtre…
Vous ne voyez pas l’intérêt de rire ?
11 – Apprendre à déléguer…
Il faut vraiment prendre conscience que vous ne pouvez (et ne devez) pas tout faire vous-même, sinon vous allez finir débordé et épuisé…
Sachez sous traiter, recruter un collaborateur, faire appel à un stagiaire… afin de vous dégager du temps pour ce qui n’apporte pas de la véritable valeur ajoutée à votre entreprise.
Même si le résultat n’est pas parfait ou aussi bien que si vous le feriez par vous-même, rappelez-vous que vous avez sans doute mieux à faire que de gérer les moindres détails !
12 – Le mieux est l’ennemi du bien…
Parfois chercher la perfection n’est pas la meilleure solution pour atteindre ses objectifs. Il faut déjà commencer par avoir un premier résultat un peu “brut” pour améliorer et corriger, que d’attendre d’avoir un résultat parfait.


13 – Le Diable se cache dans les détails…
Si dans les grandes lignes tout projet est simple, c’est généralement dans les détails que l’on perd du temps… Il est donc essentiel de planifier, d’anticiper, de réfléchir… un maximum en amont afin de gagner par la suite un temps précieux. Prenez donc l’habitude de faire un macro planning et un rétro-planning pour ne plus être coincé en ayant défini un planning trop rapidement. Si vous divisez l’objectif principal en mini étapes vous allez mieux évaluer la charge de travail et donc la date de disponibilité.
14 – Choisir ses batailles est essentiel…
Il faut choisir ses combats et ses batailles… En étant systématiquement dans l’opposition et la confrontation on perd en crédibilité. De plus la volonté étant disponible en quantité limitée, il faut réserver son énergie pour les décisions importantes et surtout ne pas lâcher sur ces fondamentaux. Il faut savoir sur quoi faire des concessions et sur quoi ne surtout pas céder.
15 – Vivre chaque instant comme si c’était le dernier…
Trop de personnes subissent le quotidien, et attendent “la retraite” / les vacances /le weekend / … pour vraiment profiter de la vie et exploiter à 100% leur temps.
Ne faites pas comme eux ! Si vous avez des rêves et des ambitions, c’est maintenant qu’il faut les vivre afin de ne pas vivre aigrit ou en ayant des regrets.
Si vous avez toujours rêvé de faire de  la musique, la peinture… pourquoi ne pas vous lancer cette année ? Trouvez un créneau de livre en fixant des priorités, et lancez vous !
16 – Sortir de sa zone de confort.
Si vous ne prenez pas de risque, si vous ne faites pas les choses que vous pensez “trop dures / compliquées / … vous n’allez jamais progresser.
Comment savoir si vous n’y arriverez pas si vous n’essayez pas ? Faites de votre mieux, accrochez vous, réessayez… et vous allez être surpris des résultats et par vos capacités !
L’être humain n’utilise que quelques pourcents de ses possibilités au quotidien, n’imaginez pas ce que vous pouvez faire en vous donner un peu de peine !



17 – Faire quelque chose de FOU !
Ne restez pas dans votre petit train train, faites quelque chose d’exceptionnel en 2012 !
Courez un Marathon, passez une nuit dans un hôtel 5 étoiles, préparez l’ascension du Mont Blanc, peignez un tableau de votre famille, prenez vous en photo tous les jours, écrivez un livre, partez seul en vacances à l’autre bout du monde sans rien préparer… A vous de trouver quelle pourrait être VOTRE FOLIE !
18 – Manger plus sainement…
En France, le pays de la bonne bouffe, c’est dommage de se contenter de sandwichs, de plats préparés… Et si vous décidiez cette année d’apprendre 1 nouvelle recette de cuisine par mois ? Faites plaisir à vos papilles et à votre famille !
Mangez plus équilibré : moins de sucres, moins de sel, moins de graisse… Bref une alimentation variée et équilibrée sans excès.
Dans le même ordre d’idées, prenez votre temps pour manger : reposez votre fourchette entre deux bouchées, mâchez lentement… c’est autant de gagné pour une bonne digestion.



19 – Se faire du bien…
Votre corps est unique, vous pourrez peut être obtenir quelques pièces de rechanges, vous ne pourrez jamais en changer. Faites vous plaisir avec un massage, une thalasso…
Cela peut aussi se faire via de petits accessoires : une bouillote, un Kit massage… pour faire du bien à votre corps…
20 – Limiter l’usage d’excitants…
Qu’ils soient naturels (café, thé…) ou artificiels (Red Bull, Alcool…), les excitants vous apportent un effet de boost qui ne font que masquer temporairement la fatigue.
En les utilisant vous ne faites que “masquer” un problème et non en traiter la source.
21 – Moins de distraction et plus de concentration.
Etre plus production ne veut pas dire forcément travailler plus, mais au plutôt travailler mieux. Cela veut dire avoir des sessions de travail plus intenses et éviter les dispersions et les distractions. Cela passe par se définir des plages de travail ininterrompues, ne pas se disperser avec MSN, Twitter, Facebook, le téléphone portable…


22 – Sortir plus…
Faites l’effort de sortir de chez vous pour faire du sport, pour rencontrer des gens, pour aller à des expositions, pour participer à des soirées networking, pour participer à des salons…
Ce n’est pas en restant tous les soirs à regarder les mêmes émissions TV que vous ferez des rencontres, que vous nouerez des partenariats, que vous allez trouver des idées…
Prenez une bouffée d’oxygène et aller au devant des autres.
Vous pouvez aussi donner une partie de votre temps à une association afin d’aider ceux qui en ont besoin…




23 – Profiter des temps morts pour vous relaxer.
Dans la salle d’attente du médecin, dans les transports en commun… profitez du temps d’attente où vous ne pouvez rien faire pour une petite séance de relaxation…
Relâchez les épaules, fermez les yeux et respirez tranquillement… vous verrez que vous arriverez presque à dormir !
Et si vous ne pouvez pas le faire (vous êtes dans une file d’attente à une caisse…), au lieu de pester et de vous impatienter, prenez votre Smartphone pour relever votre courrier, envoyer des SMS…
24 – Reprendre et maintenir le contact.
Votre réseau c’est votre famille, vos amis, vos connaissances, vos anciens collègues… Un réseau s’entretien et doit vivre, sinon il dépérit.
Et si cette année vous faisiez le tour de votre carnet d’adresse pour recontacter un vieil ami, un ancien collègue… rien que pour prendre de ses nouvelles ?
Ou plus simplement envoyer un SMS, un message sur Facebook… pour proposer un dîner ou une soirée d’anciens collègues / étudiants / …?
25 – Sélectionner les programmes à regarder à la TV.
Idéalement il faudrait se passer de la TV, mais comme cette décision est difficile, commencez déjà par ne plus regarder les programmes abrutissants.
Faites une sélection, et quand c’est vraiment un programme nul (ou déjà vu et revu), arrêtez le TV pour lire, faire de l’ordinateur, appeler un ami…
26 – Arrêter ou réduire une mauvaise habitude…
Nous avons tous des mauvaises habitudes comme fumer, boire de trop… Et si cette année vous preniez comme bonne résolution d’en arrêter une ?
27- Prenez soin de votre apparence.
80% de la communication est non verbale… Le paraitre est aussi important que l’être !
Il est donc essentiel de soigner son apparence physique. Cela peut être tout simplement un relooking (et changez vos vieilles fringues que vous portez depuis 10 ans), faire un blanchiment de vos dents, revoir votre coupe de cheveux… 



28 – Faire un Check-up chez votre médecin.
Il vaut mieux prévenir que guérir… Et si vous profitiez d’un peu de temps libre pendant vos vacances pour faire une visite de routine (prise de sang…).
29 – Se prélasser au soleil n’est pas une bonne habitude…
Que cela soit pour éviter le Cancer ou le vieillissement prématuré de la peau, la recherche à tout prix du soleil ne doit pas être votre but en vacances.
Pourquoi ne pas choisir des vacances culturelles, des vacances sportives… au lieu de vous dorer dessus/dessous ?
30 – Atteindre l’équilibre financier et investir de manière pérenne.
Economiser 1 € est plus simple que de gagner 1 €… Donc atteindre l’équilibre financier commence déjà par maîtriser son budget. Ensuite avec votre surplus vous pourrez commencer à réfléchir à investir dans une maison, un appartement, une voiture…
Prévoyez quand même un “fond d’urgence” pour parer aux imprévus (panne, casse…).
31 – Ne plus ramener de travail à la maison.
Certaines personnes ont pris l’habitude de ramener chez eux leur PC “pour finir un dossier”… mais généralement soit elles n’ont pas le courage de s’y mettre, soit elles finissent le travail vite fait en 15 minutes.
Au lieu de cela, priorisez votre tâches au travail, et déterminez une heure maximale pour quitter votre bureau (avec une marge de 30 minutes). Cela vous obligera à clarifier vos priorités et à vous concentrer sur l’essentiel.

32 – Faire bonne impression à l’écrit.
Le problème des outils de communication modernes, c’est qu’ils font de plus appel à l’écrit (à moins que le SIRI d’Apple ne fasse des émules).
Les fautes d’orthographe, le langage SMS… peuvent fortement nuire à votre image dans vos emails, sms, messages Facebook / Twitter/ …
Prenez le temps de revoir les fondamentaux de l’orthographe ou au moins à passer au correcteur d’orthographe vos textes.

33 – Lancer un projet personnel.
A voir un jardin secret, une ambition, un projet… permet de se projeter dans l’avenir et de se motiver. Cela peut être vouloir créer son entreprise, lancer une activité personnelle, ouvrir un Blog, battre un record sportif… Même si pour l’instant c’est un rêve, il peut devenir réalité à force de travail et de patience…
Pour votre bien être personnel, il est essentiel de prendre du temps à faire ce que vous aimez.









34 – Etre plus l’écoute.
Parler de soi est le sujet de conversation que l’on préfère… Cependant il est aussi important d’écouter les autres afin de mieux les comprendre.
Et si lors de votre prochain dîner, rendez-vous… vous ne parliez pas de vous, mais vous laissiez les autres vous parler d’eux ?
35 – Adopter les nouvelles technologies.
Depuis le moment où vous avez appris votre métier, que vous êtes allé à l’école… Est-ce que les technologies n’ont pas évoluées ? Est-ce qu’il n’y a pas de nouveaux outils, de nouvelles techniques à adopter ?
Pour cela regardez ce qui se fait dans d’autre secteurs (Web, Mobile…), recrutez des étudiants qui sortent de l’école, regardez les outils utilisés par les jeunes…
36 – Maitriser l’informatique.
Autant il y a 20 ans l’informatique était réservée au travail et à des spécialistes, autant les ordinateurs et les périphériques mobiles sont dans notre quotidien.
Il est temps de vous remettre à niveau pour ne pas être largué : achetez un livre “Pour les nuls” sur Word et Excel, apprenez les raccourcis clavier, apprenez à taper au clavier sans regarder les touches (ou à plus de deux doigts).

 

Et bien entendu n’oubliez pas de sauvegarder vos données sur un disque dur externe… En effet au contraire des photos sur papier, il suffit d’un clic malheureux, d’un virus… pour perdre tous vos souvenirs !
37 – Tirer parti de la Mobilité.
Les Smartphones, les PC Portables… permettent désormais de gagner en efficacité à la fois au niveau personnel (GPS…) que professionnel (email, tâches…). Tout ce que vous pouvez faire lors de temps perdu (en attendant qu’une réunion commence, dans le taxi, à l’hôtel…).
C’est le moment de passer au 21ième siècle pour ne pas être largué.
38 – Utiliser la musique pour se motiver.
Vous n’avez pas le courage de vous mettre à une tâche, commencer un travail pénible… Mettez votre de la musique et vous verrez que tout de suite cette tâche sera moins pénible.
39 – Célébrer même les petites victoires.
Il ne faut pas attendre les anniversaires, grands évènements… pour faire la fête. C’est un profitant de l’instant présent que l’on profite de la vie. Pourquoi ne pas organiser une fête surprise avec vos amis sans autre raison que le plaisir de les voir ?
Accordez vous aussi des récompenses lorsque vous avez bien fait votre travail, toute bonne charité commence par soi même !
40 – Passer plus de temps en famille.
Le travail est important, mais la famille est encore plus importante. Réservez des moments privilégiés avec votre famille. Par exemple une soirée “sans TV” à jouer à des jeux de société, une après midi à faire du vélo ensemble…
C’est en pratiquant des activités en même temps que vous allez renforcer les liens familiaux.




41 – Arrêter de râler.
Certaines personnes ont tendance à toujours râler, à ne pas être satisfaites, à ne voir que le côté négatif… S’il ne faut pas aller à l’inverse et positiver de trop, il faut néanmoins apprendre à apprécier ce que l’on a. Pour cela il faut prendre du recul, voir le côté positif, ne pas se braquer dès le départ, accepter le changement… 


42 – Lire un livre par mois…
Un livre est supérieur à un film ou à un enregistrement audio dans la mesure où il nous oblige à réfléchir, à analyser, à interpréter, à nos concentrer…
Prenez l’habitude de transporter un livre avec vous ou dans votre valise pour mettre à profit des instants de calme et à “décrocher”.
A chaque fois prenez des notes sur les idées les plus importantes, les applications que vous pourriez en faire…
43 – Fixer des objectifs, mais savoir les assouplir.
Se fixer des objectifs est important pour avoir un cap à tenir. Cependant il faut aussi savoir de temps en temps les assouplir afin de souffler et repartir encore plus motivé.
44 – Ne plus être submergé d’emails.
Cela commence par recevoir moins d’emails & newsletters (privilégier les flux RSS où vous contrôlez l’information).
Ensuite apprenez à classer les emails (à lire, à supprimer, à répondre immédiatement, à archiver…).
Puis retenez-vous de lire vos emails tous les heures, et au contraire ne consultez vos emails que toutes les deux heures (en récompense à un travail effectué).>

45 – Noter au lieu d’essayer de tout retenir.
Faites des listes, notez sur votre Smartphone vos idées… pour ne pas encombrer votre esprit avec trop de choses à retenir.
En revanche ne faites pas non plus trop confiance à l’informatique, continuez à faire travailler votre cerveau !
46 – Apprendre à réfléchir.
Vous n’êtes pas toujours obligé de répondre ou d’agir dans la minute. Prenez le temps de la réflexion.
Si vous en avez le temps commencez à réfléchir dans la journée, puis laissez une ou deux journée passer avant de reprendre la réflexion.








47 – Mettre en place des routines.
Pour prendre de bonnes habitudes, gagner du temps dans les actions répétitives… rien ne faut la mise en place de routines.
Ce sont des tâches et actions que vous réalisez par habitude, mais que vous n’avez pas noté et systématisé. En les notant sur un papier, dans votre agenda, sur un tableau… vous les avez sous les yeux et vous êtes certain de ne rien oublier.
48 – Mieux ranger pour plus de clarté.
Avec un bureau rangé, des dossiers classés et à jour… vous êtes plus serein dans votre environnement de travail et vous avez les idées claires sur vos priorités.
49 – Commencer la journée du bon pied.
Pour éviter le rush du matin et le stress dès le réveil, préparez votre journée dès le soir avant : vérifiez votre agenda sur votre Smartphone, préparez vos vêtements pour le lendemain…
50 – Vous êtes important.
S’il est important de bien s’entendre avec ses voisins, ses collègues… ils ne doivent pas passer avant vous et votre famille.
N’ayez pas peur d’être assertif, de dire non, de faire savoir lorsque vous n’êtes pas d’accord… vous ne devez pas passer au second plan. Ne vous dévalorisez pas non plus, apprenez à vous mettre en avant.
Ne vous savonnez pas la planche vous-même en mettant en avant le petit truc négatif lorsque vous avez accomplir un travail difficile… sinon vous allez devenir vous-même votre meilleur ennemi.
51 – Définir un but à votre vie.
Si vous n’avez pas d’objectif à 1 an, 2 ans, 5 ans … vous allez subir votre environnement. En définissant ce que vous voulez faire dans la vie vous pourrez influencer le cours de votre vie dans le bon sens au lieu d’être porté par les courants.
52 – Trouver un espace pour se défouler.
Si vous gardez à l’intérieur de vous vos frustrations, vos colères, vos sentiments… vous aller finir par exploser. Trouvez plutôt un moyen de vous défouler comme par exemple un sport de combat, de la gym…
53 – Faire un Ménage de printemps.
Prendre du temps pour remettre de l’ordre dans ses affaires personnelles et professionnelles permet de se débarrasser de tout ce qui est inutile, de faire des choix…
Vous pouvez ainsi reprendre le contrôle et repartir du bon pied.
54 – Demander un avis externe sur vous.
Un des meilleurs moyens de s’améliorer c’est de demander à quelqu’un que vous connaissez bien s’il y aurait quelque 2 choses que vous devriez améliorer chez vous, ce qu’il vous recommanderait.
Attention vous ne devez surtout pas contre argumenter, mais accepter la critique et ensuite y réfléchir… et voir si c’est vraiment un axe d’amélioration.
55 – Mentir moins… à vous-même !
Se mentir à soit même c’est une pratique courante : c’est dire qu’on dit qu’on va faire quelque chose qu’on ne fait pas, c’est repousser à demain ce qu’on peut faire aujourd’hui, c’est trouver des prétextes pour ne pas faire quelque chose (et ensuite s’en convaincre), c’est se mentir sur quelques kilos en trop…
Il vaut mieux être honnête avec soi même, au lieu d’altérer la vérité afin qu’elle soit plus jolie et plus agréable… et au final ne rien faire !







56 – Apprendre à s’aimer…
Faites une liste des raisons pour lesquelles vous êtes quelqu’un de bien, de fiable… Cela vous permettra de positiver sur vous-même. Avant d’être aimé par les autres il faut déjà s’aimer soi même !
57 – Améliorer votre situation.
L’inertie est la force la plus puissante de l’univers… Le changement est difficile à mettre en place. Faites plutôt la liste du Top 10 des choses que vous aimeriez améliorer, et essayez de trouver au moins 5 solutions pour les résoudre (en sous traitant, en trouvant un contournement…).
58 – Etre présent mentalement et physiquement lorsque vous êtes avec quelqu’un.
Avec les Smartphones, internet, la TV… être avec quelqu’un ne veut plus dire qu’on est mentalement avec elle. En effet force est de constater que de plus en plus de personnes téléphonent, envoient des SMS, consultent leur Facebook, regardent la TV… pendant qu’un invité est présent.
Faites l’effort lorsque vous êtes avec quelqu’un de l’écouter, de poser des questions, de le regarder dans les yeux, de relancer la conversation… et résistez à la tentation de regarder votre iPhone.
59 – Lutter contre la timidité.
La timidité c’est avoir peur de l’autre… Pourtant que risquez vous en allant au devant d’une personne, en lui parlant ? Au pire vous aurez un refus…
Prenez votre courage à deux mains, et imaginez quelle pourrait être dans le pire des cas sa réaction. Et si en 2012 vous deveniez moins timide ?
60 – Un weekend sans électricité…
L’émission de France 2 montrera en Janvier que sans électricité peut être vraiment ressourçant… Pourquoi ne feriez vous pas une journée sans informatique, sans TV… pour revenir aux plaisirs essentiels de la vie ? Le retour à la civilisation en sera d’autant plus agréable…
Cette journée est également l’occasion de totalement débrancher de votre travail, de vos passions, de votre To Do Liste, de votre iPhone, de votre bagnole… pour vivre tout simplement !

http://www.youtube.com/watch?v=R4BMRhf0g8M
61 – S’ouvrir à la différence.
Une fois par mois faites l’effort de vous ouvrir à la différence, par exemple en écoutant un nouveau type de musique, en allant à un spectacle original, en visitant un bar atypique, en allant à la rencontre de vos voisins…
62 – Lutter contre ses peurs…
Vous avez peur des serpents, du vide… Et si votre bonne résolution 2012 était de lutter contre votre phobie et vous en débarrasser à jamais ?
De même faites une liste de ce qui vous pose problème, ce qui vous gène, ce qui vous rend mal à l’aise… ce qui vous permettra de mieux identifier ces faiblesses pour les contrer.









63 – Eviter les aspirateurs à motivation.
Nous avons tous dans notre entourage des personnes qui broient toujours du noir, qui sont déprimées, qui sont négatives… Elles sont de véritables aspirateurs de motivation, et vous êtes vidé et déprimé après une conversation (téléphonique ou physique) avec eux… Cela peut être un comptable qui ne vous annonce que des mauvaises nouvelles, une copine qui est en pleine dépression…
Il ne faut bien entendu pas faire la politique de l’autruche, mais évitez autant que possible de perdre votre énergie avec ces personnes. Par exemple demandez-leur s’il y a au moins quelque chose de positif qui leur arrive, limitez à 1h maxi la conversation téléphonique fleuve habituelle, proposez leur des solutions pour changer les choses au lieu de se complaire dans la spirale de la déprime…
64 – Demander pardon…
Chercher la réconciliation peut se faire avec une personne de votre entourage avec qui vous vous êtes fâché, mais c’est aussi envoyer un email à ses anciens clients pour leur proposer de vous refaire confiance…
65 – Produire au lieu de consommer…
Allégez votre lecteur de flux RSS, vos newsletters… ainsi vous aurez plus de temps pour produire au lieu de consommer de l’information.
C’est aussi dans le cadre personnel de faire un potager pour produire par vous même vos légumes…